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La gouvernance organique proposée dans l'holycratie est une aventure aussi jouissive qu'efficace, une célébration partagée de la vie qui nous traverse et nous énergise pour explorer et rendre manifeste les plus lumineux potentiels d'apaisement et de ravissement. 

 

Toutefois, pour que cette cocréation extatique devienne réalité, il est essentiel de "danser avec les  bons partenaires". Par "bons", nous n'entendons pas un quelconque jugement de la personne; nous parlons d'heureuse complémentarité ou de  synergie jouissive. Il s'agit d'une conjonction de sensibilités, de compétences, d'attitudes, d'aspirations, de priorités, de valeurs et de besoins qui se complètent ou se retrouvent.

 

Il s'agit donc de faire bonne équipe,  et c'est pourquoi l'holycratie invite au besoin à des ajustements initiaux ou subséquents de rôles, de contributions, de contextes partagés ou mutualisés voire d'objectif permettant d'établir, de soutenir et de maintenir, chez chaque acteur impliqué, la joie d’œuvrer ensemble. Ces ajustements sont toujours faits avec l'accord implicite ou explicite des décideurs concernés (leur action ou domaine d'action étant impactés par les propositions).

 

Dans ce cadre, les acteurs sont appelés à écouter constamment leur baromètre intérieur, et en cas de "mauvais temps" de prendre très rapidement des mesures pour retrouver l'inspiration et la joie. Des "coachs holycratiques" et des "thérapeutes" peuvent être consultés au besoin pour clarifier les causes d'insatisfaction ou de malaise, qu'elles soient intérieures, personnelles, inter-personnelles, organisationnelles ou contextuelles.  

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